Pas de chance ? Grosse quiche, plutôt ! [Wayne]

Pas de chance ? Grosse quiche, plutôt !

With Wayne.

"Puta*n de porte de m*rde, mais j'ai quoi avec les verrous moi aujourd'hui c'est pas possible ! Déjà que je me prends une - coup - note - coupe - de - coup - naze ce matin, mais en plus - coup - il faut que je m'enferme - coup - toute seule comme une cruche -coup - dans les toilettes - coup - de la cantine... J'en ai MARRE !"

"'Fait chier..."

"Je m'apelle Wayne Matthews et je suis un beau salaud." Voilà comment sa biographie pourrait commencer. Le jeune homme sourit à cette idée de début de chapitre, le titre ? '' Wayne Matthews ou comment coucher avec n'importe qu'elle fille sans se prendre de rateaux ''. Peut être qu'il exagérait, après tout il y vait bien UNE fille sur terre qui se refusait à lui et elle se prénommait Sharon, mais il l'aurait, si il avait bien une qualitée c'était la patiente et heureusement, d'ailleur. Le jeune homme se serait bien mit à rire, ce titre lui convenait tout de même vraiment, si il n'avait pas était dans un appartement inconnu jusqu'a cette nuit, allongé totalement nu dans un lit (inconnu) d'une magnifique jeune fille brune aux yeux bleu. Un drap cachait vaguement sa nudité et c'était les mains derrière la nuque qu'il fixait le plafond de la chambre à coucher en cherchant en vain des fragments de ce qu'il avait bien pû faire la soirée précédente. Mais si il se souvenait de tout, parfaitement. Il se souvenait d'être allé dans une fête sur la plage, il avait immédiatement repéré cette jeune fille qui se tenait apart avec son maillot blanc qui faisait ressortir un bronzage parfait. Ces yeux, oui ces yeux, il n'avait vu que eux pendant qu'ils dansaient, pendant qu'elle lui parlait et quand elle lui avait demandé si il avait un appartement, une chambre... Non il n'en avait pas, il était colocataire dans une chambre universitaire, qu'a cela ne tienne elle l'amennerait chez elle. Ils avaient passé une soirée parfaite selon lui, pour une fois il n'avait pas but, ou très peu, et la soirée n'en fut que plus profitable. Mais ce matin là il savait qu'il se comportait comme un salaud, elle s'imaginait surement qu'il allait rester avec elle, elle et ces beaux yeux bleus, qu'il allait lui servir un super petit déjeuner au lit comme un parfait gentleman et qu'elle n'aurait qu'a le regarder pour être heureuse, en vérité elle devait l'imaginer comme un prince charmand comme toutes les autres avant elle. Mais ironie du sort il avait toujours détesté les contes de fées et aujourd'hui il savait qu'il allait se lever sans faire un bruit, qu'il s'habillerait sans faire craquer le plancher et tout en sifflotant il rentrerait à l'université. Là il prendrait une bonne douche, se changerait et partirait en cours. Le jeune homme arreta donc de penser à sa vie couché sur papier et mit son plan habituel à exécution. Un, deux trois, s'ayez il était déjà habillé... décidément il allait de plus en plus vite pour s'éclipser au petit matin de la chambre de sa princesse d'une nuit. Avant de partir il lança un regard qui s'éternisa sur la jeune fille, quel était son prénom déjà ?!

Après une douche qui lui fit le plus grand bien le jeune homme partit en cours, il avait raté le premier cours de sa journée, il ne savait même pas lequel c'était, en réalité sa lui importait peu de le savoir. Il était d'excellente humeur et son cours prochain se trouvait être sport, il n'aurait pas à supporter la chaleur d'une salle de classe et l'ennuiement qu'il éprouvait contidiennement à écouter un professeur. Il se dirigea donc tout content dans le gymnase et se mit en tenu de sport. Le professeur leur demanda de courir tout autour du gymnase et l'humeur de Mônsieur Matthews retomba, il détestait courir autour d'un stade, si encore c'était derrière une fille mais là il n'y avait aucun intêret, franchement. De plus son téléphone vibra dans sa poche et s'excusant pour aller au toilette il reçu un message de sa demoiselle aux yeux bleu qui l'informait qu'il avait oublié quelque chose chez elle. Étonne il lui demanda quoi et la réponse ne se fit pas attendre puisqu'il reçut un texto' où elle lui répondit qu'il avait oublié qu'elle ne se laisserait pas faire et qu'il était un homme mort, qu'elle allait se venger de l'avoir laisser en plan, il sourit en lisant le message de menaces. Elle ne lui ferait rien, elle ne connaissait même pas son prénom puisqu'il lui avait dit qu'il s'apellait Jayke... Vraiment il devenait très fort pour disparaître dans la nature sans une excuse ou un mot.

Après une heure de sport intense (ironie quand tu nous tiens) le jeune homme se dirigea vers la cantine pour un bon petit repas. Il était assit à la table des sporitfs bien qu'il n'en soit pas un, ce qui était bien avec Wayne c'est qu'il pouvait aller partout s'en faire tache mais bientôt entendre la tactique pour marquer un essai contre je-ne-sais-qu'elle-équipe-au-nom-stupide le gonfla. Il se leva en s'excusant, il n'avait presque pas toucher à son repas mais il n'avait pas si faim surtout que la demoiselle aux yeux bleu (bon sang c'était quoi son prénom déjà ? Quelque chose de composé, non ?) le harcelait. Elle l'apellait et le bourrer de texto tant et si bien qu'il éteignit son portable, il allait entrer dans les toilettes des hommes quand il entendit deux garçons parler de football américain. Voyant rouge il entra dans les toilettes des demoiselles. Il n'avait aucune besoin d'aller aux toilettes à proprement parler mais il avait énorément besoin de faire une pause. Les toilettes quel merveilleux endroit pour faire le vide, puis les toilettes des filles sentent toujours bon contrairement à celles des garçons.
Mais des cris, non des injures et des grondements, le fire sortir de son état de transe il soupira doucement et écouta la jeune fille déblatérer tous ces problèmes. Elle était donc coincé dans les cabinets et avait une voix très proche de celle de la gentille et douce (dans ses rêves) Louh Lokart.
Les coups contre la porte se stoppèrent et il comprit qu'elle pleurvait, s'approchant doucement de la porte d'où venait les cris il se mit à parler doucement, comme si tout cela était parfaitement normal, mais rien n'était logique jusqu'a sa présence en ces lieux...

« Et bien jeune fille sa n'a pas l'air d'aller. Bon tu sais Louh on à tous des jours comme sa, vraiment porteur de poisse mais faut pas en faire tout un plat. Puis ta une excuse pour pas aller en cours cette aprem' tu pourra toujours dire que tu étais bétement enfermé dans les toilettes. »

Jugeant que tout cela n'était pas risible il haussa le ton et prit une mine sérieuse bien que personne ne puisse le voir.

« Bon tout est relatif. Tu veux me parler de tes problèmes ? »

L'idée de défoncer la porte pour la laisser sortir traversa l'esprit du jeune homme mais il ne la trouva pas judicieuse et l'oublia aussitôt.

"Wayne, si tu n'as pas l'intention de m'aider à sortir de là, et si tu as autre chose à faire que d'essayer de me remonter le moral en me conseillant de faire les mêmes conneries que tu fais tous les jours, à savoir, sécher les cours qui t'aideront plus tard à ne pas habiter dans un carton à l'angle d'une rue, je te prie de bien vouloir me laisser tranquille pour aller draguer toutes les nanas que tu peux trouver, puisque tu ne sais faire que ça, merci."

"Et puis, de toute façon, si je te le dis tu vas te payer ma tête et faire courir dans tout le bâtiment que Louh Lockart n'est qu'une petite pleureuse..."

Okay. Il regarda autour de lui et expira légèrement, ce qui frappait les gens chez le jeune homme premièrement c'était son calme, son sang froid, cette foutu habitude de tout garder pour lui et de rarement stresser en public, il fallait bien le connaître pour voir quand il était en état second de peur/stress... Ce n'était pas le cas de tout le monde apparament, il sourit à cette idée, sourire sadique d'une personne sadique se délectant du maleur des autres. Non c'était faux il ne se délectait nullement de voir quelqu'un pleurait mais c'est vrai, il devait l'avouer, que sa le rassurait dans son égo' de voir que les autres étaient bien plus faible que lui. Enfin c'était se qu'il s'imaginait. Sale gosse. La nature dans son éternelle justice (qu'elle blague) l'avait gatté d'une belle apparence et d'un cerveau. Oui il était intelligent et sa lui nuirait forcément, les forces du mal ont un cerveau, non? Regardait Hanakin, magnifiquement beau et magnifiquement méchant. Il se voyait un peu comme lui, Wayne, comme quelqu'un qui veut se venger du mal de la vie sur les autres qui n'y sont pour rien. Sale gosse.

Le jeune homme lui parla d'une voix calme dans laquelle on pouvait entendre cette marque d'ironie qui était gravé dans sa belle voix. Il écoutait une réaction qui ne manquerait surement pas d'être explosive, connaissant la demoiselle. Elle paressait si fragile mais était si féroce, il pouvait en dire quelque chose. C'est vrai qu'il en connaissait un rayon sur les colère de Louh. Un bruit le fit sursauter, si son ouïe ne le trompait pas elle venait de frapper avec son point contre le mur tout en jurant sur diverses choses qu'il ne pourrait pas comprendre et de toute manière il s'en moquait royalement. Les problèmes de Louh n'était pas les ciens et si elle ne voulait pas de son aide il ne la lui donnerait pas. Expirant doucement il se laissa glissé contre la porte, le dos bien appuyé contre celle-ci, il entendait parfaitement la jeune fille qui lui parlait d'une voix erraillé par trop de larmes. Elle avait dût pleurer pour au moins un mois. Quoi que vu comme elle était elle devait toujours avoir des larmes de reste. Une jeune fille pleine de ressource, voyez vous? En l'écoutant un sourire fin se déssina sur son visage, qu'il effaça immédiatement, c'était quand même triste qu'elle le hait à se point. Pas étonnant mais triste.

« Qu'elle chance tu as! Je n'ai rien d'autres à faire que d'essayer tant bien que mal à te remonter le moral. Enfait se qui te remonterait vraiment le moral c'est que je saute d'un immeuble ou que je me pende, dis tu prefere quoi la pendaison ou le grand saut? Oh et sa fait bien longtemps que je n'ai pas séché maintenant que tu le dis. C'est bête quand même on aurait pût sécher ensemble, ah mais non j'oublié tu est coincé dans les toilettes... »

Le jeune Matthews insista férocement sur la dernière phrase ''coincé dans les toilettes'' qu'elle idée quand même de s'enfermer dans les toilettes pour pleurer et ensuite raler parce qu'on ne peut plus sortir. A la place de la jeune fille... mais non il n'était pas à sa place et se genre de penser ne ferait pas avancer les choses. Scrutant le bout de ces chaussures impécablement propre il écouta la demoiselle, essyant de deviner son visage, sa bouche devait se tordre signalant le début du chagrin, cex jolies yeux azural devaient s'embuer de larmes et sa gorge se nouer affreusement, combien de fois avait t'il ressentit sa? Beaucoup trop de fois et c'était bien pour cela que depuis ses 18 ans, même bien avant, il ne pleurait plus. Ce n'était pas la solution et il en était concient mais il était satisfait ainsi, enfin il semblait l'être. Il n'avait aucune envie d'être encore sadique avec elle. En vérité son esprit se balancer entre l'envie de s'amuser avec elle (sans sous entendu) ou de l'aider et de remonter (pourquoi pas?) dans l'estime de la demoiselle. Se qu'elle dirait par la suite serait donc déterminant, retenant son souffle il l'écouta. Un sourire, pas un sadique mais amusé, laissa place à son inquiétude.

« C'est fou comme les gens peuvent se fier aux apparances. Si je te sors de là tu me devra quelque chose, oh j'imagine ta tête mais je ne te demande pas de coucher avec moi. Forcer une fille à aller dans mon lit serait le pire des crimes... »

Il marqua un cours moment de silence puis reprit d'une voix mal assuré.

« Débrouille toi pour m'arranger un rendez-vous avec Shanon et SURTOUT ne me pose pas de questions. »

Etrange chose mais il remarqua qu'a chaque fois qu'il ''dicutait'' avec Louh il parlait principalement à l'impératif.

« Je ne raconterai à personne se qui viens d'arriver si toi même tu ne parle pas de notre petit accord... »

Avait t'elle le choix? Peut être mais il ferait comme si elle ne l'avait pas...